Pourquoi le transfert d’argent entre pays africains sont encore un défi en 2025 ?

transfert d’argent entre pays africains

En 2025, le transfert d’argent entre pays africains reste un sujet complexe. Malgré les progrès du mobile money et l’arrivée de fintech innovantes, de nombreux obstacles ralentissent encore les transactions transfrontalières : infrastructures bancaires insuffisantes, coûts élevés et réglementation hétérogène. Cet article fait le point sur les défis et les solutions émergentes pour fluidifier les flux financiers intra-africains.

Les défis structurels du transfert d’argent intra-africain

  • Infrastructures bancaires limitées : dans de nombreux pays, le maillage des agences bancaires reste insuffisant, notamment dans les zones rurales.
  • Coûts élevés : envoyer de l’argent d’un pays africain à un autre peut coûter jusqu’à 10 % du montant transféré.
  • Réglementations différentes selon les pays : les obligations KYC (Know Your Customer) et les restrictions sur les devises compliquent les échanges.
  • Manque d’interopérabilité des solutions digitales : toutes les plateformes de mobile money ou fintech ne sont pas compatibles entre elles.

L’impact de ces obstacles sur les particuliers et les entreprises

  • Les particuliers voient leurs proches attendre plusieurs jours avant de recevoir l’argent envoyé.
  • Les commerçants et PME doivent supporter des frais supplémentaires, ce qui réduit leur compétitivité.
  • Les transferts retardés peuvent bloquer des approvisionnements stratégiques.

« Ces lenteurs pèsent lourdement sur les économies locales et sur le pouvoir d’achat des
ménages »
, explique un analyste basé à Abidjan.

Quelles solutions pour améliorer le transfert d’argent en Afrique ?

Le rôle croissant des fintech

Les fintech africaines comme DigiPay apportent des alternatives rapides et accessibles.
Grâce à des corridors financiers dédiés, ces acteurs permettent un transfert d’argent quasi instantané, même entre pays africains.

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Le mobile money comme levier d’inclusion

Le mobile money reste l’un des principaux outils d’inclusion financière. Toutefois, il doit
encore gagner en interopérabilité pour réduire les frais et les délais.

Vers une meilleure harmonisation réglementaire

Les institutions régionales (BEAC, BCEAO, etc.) travaillent à uniformiser les règles afin de
fluidifier les flux financiers intra-africains.

Étude de cas : DigiPay et les corridors Afrique-Europe

DigiPay, présent au Congo Brazzaville, Pointe-Noire et Kinshasa, se spécialise dans le
transfert d’argent vers l’Europe et entre pays africains.

  • Délais : moins d’une heure
  • Frais : transparents et compétitifs
  • Assistance : disponible en agences locales

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Conclusion

En 2025, le transfert d’argent en Afrique progresse mais reste entravé par des coûts élevés,
des lenteurs et des barrières réglementaires. Les fintech comme DigiPay, en développant
des infrastructures modernes et en collaborant avec les régulateurs, sont appelées à jouer
un rôle clé pour simplifier et accélérer les transferts intra-africains.

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